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Ma spirale descendante grâce à H2O.

Pendant des années après avoir découvert que vous pouviez passer de la mer du Nord à la Méditerranée par canal et par rivière, je rêvais de vivre cette aventure. Une chance de le faire est venu si je le faisais avec un budget serré alors je l'ai saisi. Ne pas rester dans les marinas, mais simplement amarrer au bord d'un canal et c'est pourquoi Fidutia a été rendue autonome. À 70 ans, le temps qu'il me restait m'aurait battu pour le faire correctement avec de l'argent.

J'ai acheté Fidutia en Hollande en 2010 et j'avais passé sept années splendides à naviguer entre la Hollande, la Belgique et la France. En septembre 2017, mon certificat TRIWV pour les péniches de plus de 20 mètres était dû et je me suis dirigé vers la cale sèche de l'Atelier Fluvial à St Jean de Losne, sur la rivière Soane.

L'arpenteur est venu de Hollande (comme je suis néerlandais) et après avoir réussi l'enquête et un nouveau fond brillant, Fidutia était prêt pour une nouvelle croisière de sept ans.
Mon plan était après l'enquête de nous diriger vers le Canal du Midi via les fleuves Soane et Rhône, accompagné de deux amis barges. Remplis de carburant et de nourriture pour le voyage de plus de 800 km, nous nous sommes lancés dans une autre aventure.

Pas longtemps, onze kilomètres en aval de la rivière, la boîte à engrenages a pleuré de meulage. Atelier Fluvial a envoyé un ingénieur là où nous étions attachés à une banque rocheuse et a enlevé le carter d'engrenage et m'a montré le problème. L'arbre de liaison entre la boîte de vitesses et le moteur avait cisaillé la cannelure à la place du moteur. Plus tard, nous avons été remorqués vers le quai à l'extérieur de l'Atelier Fluvial, alors que j'attendais près d'un mois pour que les pièces de rechange arrivent des États-Unis. Comme je devais emprunter de l'argent pour les réparations, je devais envisager de vendre.


Ma spirale de descente a commencé alors qu'elle était attachée à côté du quai. Deux dames se sont approchées de moi et m'ont demandé si elles pourraient vendre ma péniche. Ils étaient de H2O et l'un d'entre eux a demandé à regarder à travers Fidutia. Tandis qu'elle regardait, mes deux amis sont rentrés à Fidutia et il a ensuite été accusé que l'une des dames leur soit connue et qu'elle soit la fille du directeur de H2O. Cela m'a fait penser que je pouvais leur faire confiance.

Ils se sont dits sûrs de pouvoir vendre Fidutia dans un délai de trois à six mois et ont donné une indication de la fourchette de prix que je pensais pouvoir obtenir. Quand ils ont été informés de leurs frais d'amarrage, je leur ai dit que je ne pouvais pas payer 200 € par mois, plus l'électricité. J'allais me liguer comme je le faisais depuis sept ans du côté du canal car Fidutia est pratiquement autosuffisante et cette nouvelle dépense ne serait pas possible pour la pension Australienne.

Mon ami connaissant ma situation financière (il m'avait prêté l'argent pour les réparations) a expliqué aux dames que si je signais un contrat avec elles, les frais d'amarrage pourraient être déduits du prix de vente. Sachant que je ne signerais pas un contrat si je devais payer, je suppose qu'ils étaient trop optimistes et qu'ils avaient accepté (ce qu'ils n'avaient pas le pouvoir de faire mais voulaient simplement me tromper de me faire signer) et quelques jours plus tard, après avoir mentionné et confirmé la réservation que nous avions faite, la fille des propriétaires m'a envoyé un courriel le 11 octobre pour lui demander quand elle pourrait venir me faire signer le contrat. J'ignorais alors que leur tromperie allait me conduire dans une spirale financière à la baisse. Plus tard, face à Max, le PDG et mon ami qui ont suggéré le plan, la jeune vendeuse a nié avoir fait cette offre. Quand une entreprise de la taille de H2O maintient son personnel en poste, il me dira des mensonges pour me procurer un client qui craint.

H2O possède un ponton de vente principal 'A' où sont amarrés la plupart des navires à vendre. J'étais positionné à la fin du ponton «A» et je pensais que tout était en ordre. Je me suis donc rendu en Australie en prévision d'un chèque dans les six mois où il était suggéré de les vendre à Fidutia. Mon voyage en Australie n'aurait jamais été envisagé si je pensais que je devais louer topay là-bas et à H2O. Le 2 février 2018, alors que je suis en Australie, H2O m'envoie une facture d'amarrage et d'électricité d'un montant de 708 €, ainsi qu'une note "et un paiement dans les quinze jours".
H2O possède un ponton de vente principal 'A' où sont amarrés la plupart des navires à vendre. J'étais positionné à la fin du ponton «A» et je pensais que tout était en ordre. Je suis donc en Australie en prévision d'un chèque dans les six mois où il était possible de vendre à Fidutia. Mon voyage en Australie n'a jamais été envisagé si je devais louer topay là-bas et à H2O. Le 2 février 2018, alors que je suis en Australie, H2O m'envoie une facture d'achat et un montant d'un montant de 708 €, ainsi qu'une note de paiement.

J'ai écrit à H2O le même jour et j'ai reçu un reçu pour le courriel. Mesdames, XXXX a dit de vous contacter pour expliquer à vos clients les dispositions prises à propos de la vente de Fidutia. Les trois premiers mois devaient être gratuits et d'autres frais d'amarrage devaient être déduits de la vente. H2O n'a pas renvoyé de courrier électronique contestant ma réclamation et j'ai supposé que les choses se passaient comme prévu.

C'était jusqu'à ce que je reçoive un courrier électronique d'un monsieur de H2o m'indiquant qu'il nous avait repositionné Fidutia plus près du quai afin que les gens puissent mieux voir le bateau, mais la connexion pour l'électricité n'est pas aussi proche et votre câble vers le 220V est trop court. Je leur ai dit qu'il y avait un câble plus long Avant de partir pour l'Australie, j'ai acheté la peinture pour refaire le pont, mais à cause du mauvais temps, je n'ai pas réussi à le faire, alors c'était mon premier travail à faire à mon retour. Avec le courrier électronique de leur part disant que je me trouvais maintenant plus près du quai, j'ai pensé que je ne pourrais peut-être pas moudre le pont si près des autres bateaux.

Mon alternative était d'acheter une vignette VNF alors qu'il était encore possible d'obtenir un rabais avant la fin du mois de mars (jusqu'à 560 €) et de monter le canal pour faire le travail. Je leur ai demandé ce que je pouvais ou ne pouvais pas faire, mais ils ne m'ont jamais répondu, alors, pour être sûr, j'ai acheté la vignette. Je m'inquiétais toujours de la possibilité d'alimentation électrique et leur ai écrit pour vérifier si la charge de la batterie fonctionnait. Ils m'ont envoyé une photo du voltmètre et m'ont dit qu'il fonctionnait correctement. Il lisait 24 volts et non le 26 plus, il aurait dû l'être. J'ai dit à la personne qui l'avait vérifié et semblait ne pas savoir de quoi il parlait et que cela ne fonctionnait pas. À l'époque, il aurait dû se rendre compte que quelque chose n'allait pas. Ils ont répondu que le disjoncteur s'était déclenché après l'avoir branché et que tout allait bien maintenant.

Quand je suis rentré en France, Fidutia n'était pas là où ils l'avaient dit, mais sur un autre amarre pris en sandwich entre d'autres barges et un vieux hulk et ne pouvait être vu correctement depuis le quai. Le hulk était si moche que lors des soldes, ils l'ont remorqué, mais il était acceptable de me laisser à côté le reste du temps. La plupart des autres ports de plaisance réduisent votre loyer si vous êtes deux ou trois bateaux, mais pas H2O. D'ACCORD.

J'ai ensuite continué à recevoir des demandes pour les frais d'amarrage, mais ils ne voulaient pas discuter de nos arrangements, j'ai donc été obligé de payer. Juste avant de quitter la marina, le responsable m'a écrit pour m'annoncer qu'ils n'avaient pas reçu un paiement de 1 000 € que j'avais effectué. J'ai envoyé les coordonnées bancaires et on m'a finalement dit que c'était leur erreur. Lorsqu'ils en ont discuté avec d'autres navigateurs, la même chose leur était arrivée. J'appelle cela «double trempage».

J'ai échappé à leurs griffes et je suis maintenant amarré de l'autre côté du port. Dans l'ensemble, ce n'est une expérience que je ne souhaiterais à personne. L'essentiel, c'est que les vendeurs de H2O connaissant ma situation financière n'auraient pas dû me proposer un contrat qui n'était pas en leur pouvoir et sachant qu'après ma signature, je serais informé de ce que je pensais être une fraude.

Juste après mon arrivée à mon nouveau poste d'amarrage, la police m'a rendu visite. Max, le PDG de H2O, les avait envoyés pour que je supprime mon panneau www.h2o-metoo.com ainsi que les courriels de H2O. Ils ont dit que si je mettais les courriels dans mes mots, tout irait bien. H2O a écrit les courriels et peut-être ont-ils réalisé leurs échecs. Néanmoins, il serait préférable que vous lisiez les originaux plutôt que de prendre ma version. Quand la police m'a demandé de prendre mon panneau, ils ont dit que H2O appartenait à H2O France. Je leur ai demandé s'ils savaient ce que H2o était et ils ne l'ont pas. Je devais leur montrer sur le net que tout le monde pouvait utiliser H2O. C'est de l'eau. Ils ont ensuite dit que je pouvais quitter le compte.

Le fait que je sois en vente sur ce port de plaisance était lié à deux politiques inhabituelles.

L'une d'entre elles était que les acheteurs ne voulaient pas que le propriétaire soit à bord et on m'a demandé de quitter les lieux lors des week-ends de vente. Je n'aimais pas cette idée car il semblait que leur politique était de simplement donner quelques clés (j'ai vu des gens passer avec jusqu'à 6) et de laisser les gens (avec des enfants indisciplinés) regarder sur ces bateaux sans aucune supervision. Ils leur ont demandé de ne toucher à aucun interrupteur, mais les enfants seront des enfants. De plus, quelques adultes testaient des phares et des propulseurs d'étrave. Ils ont également donné aux clients un petit sac pour garder leur brochure, mais pour moi, cela ressemblait à un sac pour chien pour prendre des souvenirs. Il n'y avait pas de contrôles effectués.


J'ai constaté que lorsque j'accueillais des visiteurs, ils étaient contents de passer seuls mais quand on leur a demandé s'ils souhaitaient voir les services fonctionner, ils ont accepté mon offre. En regardant autour de eux, ils ne réalisèrent pas l'importance de l'éolienne, des panneaux solaires basculants et rotatifs, des filtres à eau et bien sûr des caméras vidéo à utiliser lors du passage dans une écluse. Tout est très important si vous voulez vivre hors de la grille
Courtiers tels que https://bourgogne.boatshed.com/ dire ils escort spectateur tous les bateaux qu'ils ont proposés, non seulement distribuer des clés.

Vous ne donnez pas seulement les clés pour les gens de voir votre maison alors pourquoi votre bateau ?